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la révolte du trio incroyable

 "Ce chapitre s'integre dans le passé. Il raconte une partie de la jeunesse de Nathanéus, Magnar et Méthanobis."

Elle avait été acculée dans une ruelle, pourtant elle n'avait rien fait de mal.

Tous les quatre l'on poursuivit après l'avoir au par-avant humiliée.

Gentiment, elle a tentée de leurs faire comprendre qu'elle n'était pas ce qu'ils croyaient mais rien n'y fît, au contraire, sa cordialité encourageait que leurs mépris et leurs désirs de la martyriser.

Nathanéus et Magnar étaient auprès du recteurs et des autorité du palais pour valider leurs inscription aux épreuves. J'ai donc dut laisser Méthanobis près d'un jardin pour ne pas mettre à mal les elfes du sénat qui conféraient au château.

 

_Arrêtez ! S'il vous plais. Pourquoi vous me faites ça? Pourquoi m'en voulez vous? Je n'ai rien fait?

Des supplications qui ne servirent à rien face à des prédateurs tel que ces garnements.

Maudit soient les elfes, maudit soit leur bêtise d'instaurer un tel climat de haine et de rejet envers une minorité de leur espèces.

Quatre, ils furent seulement quatre a commencer. Quatre idiots, descendant de parents encore plus idiot pour prolonger à travers les générations une telle absurdité qu'est l'éradication de ceux qui dévient de leurs fierté. De quatre, ils passèrent a une dizaine, mais pas que des elfes cette fois ci. Des Taranites et des gnomes les avaient rejoins, conforté dans une idée de justice et de bien faire, sans doute aussi galvanisé par le gain d'une quelconque récompense croyaient-il. Les idiots, ils se trompaient tous, tous autant qu'ils furent.

Je ne saurais dire qui de Magnar ou de Nathanéus ressentit la détresse de notre petite elfe en premier. J'ignore encore aujourd'hui si, ils avaient sentit tout deux longtemps avant de charger à son secours. Tout ce que je sais c'est qu'elle avait besoin d'aide et quand elle fut venu se fut un désastre pour la cité.

 

Nathanéus avait beau être un jeune adolescent plein de compassion pour son prochain, toujours prêt à servir une cause dans la noblesse de l'art. Mais sa sociabilité n'était plus qu'un lointain souvenir lorsqu'il entrait dans une telle rage. Sa colère l'aveuglait et plus rien d'autre ne comptait à ses yeux qu'exprimer sa rancœur face aux responsables des blessures de notre petite elfe. J'aurais espéré que Magnar le retienne un tant soit peu mais au contraire tout deux semblaient jubiler à l'idée de châtier les coupables. Sur les lieux je découvrait en même temps qu'Alacazar le désastre. La tempête généré par Magnar continuait de malmener sans cesse les pauvres malheureux qui comprenaient pas pourquoi personne ne venais les sauver. De nombreux mages adultes tentaient une intervention de pars et d'autres endroits autour du typhon mais en vains. Mes craintes venaient d'atteindre leurs paroxysme lorsque Nathanéus appelait à lui Antarès la légendaire faux. De l'effroi ou de la surprise je ne saurait dire a ce moment ce qu'éprouvait le plus l'assistance.

_Qu'attend tu pour intervenir ils sont en train de tout dévaster !! Me hurlait Alacazar.

_C'est un fait je te l'accorde mon ami mais j'entends m'assurer de la santé de ma pupille avant toute chose. Lui répondais-je toute en me frayant un passage dans la bourrasque.

Magnar avait beau jouer les vauriens et les enquiquineur tout au long de mes cours de sortilèges mais je savait reconnaitre en lui ce que tout le monde constatait lorsqu'il devenait sérieux dans l'exercice de sa magie, dommage que ce fut dans un aussi tragique événement.

Magnar à toujours été capricieux et n'as jamais eu froid au yeux, alors balloter des abrutis à la maturité aussi primaire que des cloportes au risque de déchainer contre lui toute une cité était pour lui une aubaine en matière d'amusement. Mais la ce n'était pas un jeu.

 

Quarante deux. C'est le bilan du moment. Quarante deux mages adultes au soins intensif. Un record pour un lieu aussi paisible. Nathanéus venait de marquer a vis les esprits et des milliers de citoyens venaient a peine de se rendre compte que ça n'allait pas s'arrêter là.

Magnar en fit tournoyer une trentaine quelques instants plus tard balayant en même temps toutes les immense structures qui trônais autour du jardin ou j'avais laissé ma petite elfe. Et à ce moment précis la foudre venait de frapper le palais du sénat et tout ce qui pouvais ou non abriter un habitant. Ce n'était plus de la rage mais de la frénésie, et en matière de frénésie il vaux mieux redouter celle de Nathanéus. Jamais un jeune mage fut aussi puissant que Nathanéus, surtout pas un Taranite. On pouvais retenir Séto ou Albior dans les légendes mais le jeune Marthym les surclassait déjà depuis un siècle ou deux. À trois cent ans Nathanéus maitrisait déjà ses quatre dons sans se soucier des contraintes inhérente a son espèce.

Unique c'est ce qui peu le qualifier pour ne pas le réduire a simplement prodigieux.

 

Les trompettes on résonné et les choses sérieuses commencèrent. La première garde s'avance vers l'œil du cyclone pour attaquer Magnar et Nathanéus. Des soldats expérimenté et réputé invincible. Huit pour être précis, le fleuron de la première garde. Ceux que l'on surnomme les descendants des Prélats. Ces juges mythique et surpuissant qui faisaient régner la lois sur tous les royaumes. Cette fonction c'est éteinte à la mort de Séto Thanosseî surnommé le désincarné.

La première garde représente l'élite en matière de guerrier et soldat. Ils ne se déplace que pour supprimer le danger, en l'occurrence deux enfants révolté par ceux qui ont cruellement violenté leurs petite sœur.

Les incantations et les formules magique fusent telles des flèches lors d'une bataille entre deux clans mais rien ne change. Les vents tournoient encore et la rage s'exprime autant. Deux des huit se détachent du groupe pour charger le cyclone. Trois autres invoque des sortilèges de protection pour protéger la cité et isoler les deux enfants. L'un des huit observe de loin tandis que les deux autres plantent leurs épées dans le sol. Les armures des membres de la premiers garde s'illumine et les plus proche de Magnar tente une charge à travers ses vents. Les vents redoublent de violence et la vitesse de Magnar les prend de cours, les cinq sont éjecté au loin sous les yeux ébahi de l'assistance. Bravo pour les épées au sol car elles dispersent les tornades et les éclairs qui sorte du périmètre tracé par la garde. Dommage pour les épées dans le sol car aussitôt Nathanéus invoque à son tour les éclairs noir qui fragilise les épée qui perdent leurs si belle aura de magie, tendit que tournoie Antarès qui pulvérise ces belles lames l'une après l'autre. Et alors que la faux revient vers Nathanéus une impressionnante et rapide boule de flamme bleu le percute de plein fouet.

Le Météore Orc !! S'écrie la foule. Non la Comète !! Semble corriger l'autre partie du publique présent. Peu importe comète ou météore c'était la même chose. Le fils de Saragoug venait d'entré en action. Lui qui tout à l'heure semblait simplement observé. En réalité il attendait son heure pour intervenir. Depuis le début de la guerre des elfes blanc, il était érigé en héros incontesté. Le plus grand de tous les guerriers. Le premier né de Saragoug le roi des Orc. La fierté de son peuple et le cauchemar de ses ennemie. Un Orc massif d'un bleu incroyable habillé d'une armure noir au motif d'argent. Un guerrier sans arme ni bouclier. Nul besoin quand son propre corps est une arme a lui tout seul.

Son talent a lui c'est de ce propulser si vite et si violemment qu'il peux tout pulvérisé sur son passage. Ce qu'il percute explose ou est réduit en charpie. Le fils de Saragoug est l'incarnation même de la force. Nul ne peux résisté à son assaut.

On lui doit son surnom de comète à la trainé bleu qui marque son déplacement. Et on lui dot son surnom de météore au cratère du à l'impact lors de sa collision.

 

Magnar cessa ses vents et laissa retomber ça colère pour la remplacer par la surprise. Nathanéus venait de se prendre la comète de plein fouet sans avoir eu le temps d'esquivé ou de tenter une parade. Nathanéus ne peux être surpris, c'est impensable. Son talent est de savoir qui lui veux du mal a lui ou a son entourage, on ne peu donc le surprendre car sur des millier de lieux a la ronde toutes tentative ou le simple fait d'envisager de s'attaquer à lui sera automatiquement perceptible.

La comète ne peu déjouer ce don aussi rapide soit il. Magnar le sait, Méthanobis le sait et moi même je le sait, donc c'est impossible que cette scène est eu lieu.

Nathanéus, vaincu par un seul mage adulte? c'est même une aberration.

Magnar n'hésite pas une seule second il empoigne Méthanobis et l'emporte avec lui.

On pourrais croire qu'il fuit le combat mais non. Il fonce justement sur le lieux de l'impact à l' épicentre du cratère pour retrouver son camarade. A peine eu il atteins la moitié du trajet qu'une puissante onde de choc et une immense trainé bleu décolle à la verticale pour ensuite retomber quelque dizaine de pas plus loin. A peine retombé cette dernière décolle de nouveau pour fendre l'air en plein dans le ciel dégagé de tout nuage. Un grand choc se fait sentir avec un bruit tellement violent que les cieux eux même aurait pu en souffrir d'un frisson. La trainé bleu a percuté je ne sais quoi avant d'être catapulté dans le centre de la cité ou l impact détruisis tout sur son passage. Une silhouette descendit lentement près des vestiges de la trainée bleu tandis qu'un rire semblait chasser toute cette atmosphère d'inquiétude par la stupéfaction.

 

  • HA ! HA ! HA ! HAAA !! Voilà une situation qui est loin d'être anodine. Comment te nomme tu jeune mage?

  • Je me prénomme Nathanéus Valerian Marthym et toi?

  • Aégradios le météore Orc ou la comète suivant mon public, mais je suis surtout connu comme le capitaine de la première garde et surtout comme le premier né de mon père, le Grand Roi Saragoug.

  • Ouais! Ouais! Ouais! Quand à moi je suis Magnar un gnome quelconque etc etc. je peux savoir ce qui c'est passé?

  • Vous ravagé ma cité et c'est vous qui faites les surpris?

  • Je veux savoir comment toi Nathanéus tu à pu te faire avoir par ce type là?

  • Dit donc un peu de respect je te pris sale petit vaurien, lui hurlais-je après les avoir moi même rejoins en compagnie d' Alacazar. Bien que ce mystère aussi m'intriguais. Alacazar lui semblait plutôt surpris comme la majorité des mage qui venais vers nous par le fait que la comète est été mis en difficulté pour la première fois semble t-il.

  • Aégradios que c'est il passé? Demanda mon vieil ami gobelin.

  • Il semblerais que ces enfant soit hors catégorie en matière de magie. Un Marthym dit tu? Voilà qui pourrait répondre à la première question sur votre puissance. La deuxième en revanche semble plus inconcevable.

  • Posez la donc, répliqua Nathanéus à la comète.

  • Antarès est l'une des douze armes légendaires abandonné par les élémentaux. Comment à tu put la dompter?

  • Par les cieux c'est vrais! Réagissait Alacazar. Antarès n'a jamais eu de maitre. Comment et ou la tu obtenu?

  • Sauf ton respect mon ami, cela ne te regarde pas et mes enfants vont venir avec moi.

  • Ils sont en état d'arrestation hurla un des soldat de la première garde.

  • Sous quel motif?

  • Destruction vandalisme et agression envers des citoyens.

  • Des citoyens qui ont attaqué les premier et qui on blessé notre amie, hurla Magnar.

  • Nous n'avons fait que nous défendre, renchérit Nathanéus.

  • Vous défendre? Souleva la comète. La moitié de notre cité ravagé les deux tiers de nos citoyen terrorisé et sans habitations cinq de mes gardes assommé et plus d'un centaine de mages a l'infirmerie sans compté les millier de blessé autours de nous. Rassure moi vous vous défendez toujours de cette façon ou vous tentiez une invasion?

  • Je reconnais que nous nous sommes un peu emporté précisa Nathanéus.

  • Un peu emporté ! Ha! Ha! Ha! Haaa! Décidément c'est un jour faste. Une bataille perdu pour nous et un sens de l humour très développé pour tes enfant mon cher Déthanis.

  • Aégradios , soupirais-je. Allons de ce pas voir ton père et discutons en.

  • Oui bien sur mais avant j'ai quatre garnement a corriger. Et des excuses au nom de notre cité a présenté a ta pupille.

 

En s'approchant lentement de Méthanobis la comète s'agenouilla et la pris par la mains tout en lui caressant le dessus du bras il entonnât un petit chant et les blessures de Méthanobis cicatrisèrent. Les Orcs ne peuvent soigner sauf Saragoug pourtant la comète lui vient de réalisé un exploit similaire. Décidément la ligné de Saragoug semble vraiment mystérieuse. Après avoir expliqué qu'il avait enquêté lors de la frénésie de mes enfants, la comète avoua avoir surpris des enfants parlé de lyncher une autre et a cherché à évité se drame, mais, lorsqu'il s'apprêtait à dépêcher un de ses soldats c'était trop tard, la tornade faisait rage au centre de la cité.

 

Il s'avança vers Nathanéus et le mis sur son épaule à la grande surprise de ce dernier qui n'avait pas trop l'habitude d'autant de familiarité avec les autres mage.

Nous comprime alors qu'il ne sentait aucun danger et que naissait sans doute une grande complicité entre Nathanéus et le Météore Orc. Aégradios le premier né de Saragoug le plus grand roi de tout les Orcs.

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