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chapitre 05 Le repas royal

Chapitres 05

le repas royal

 

 

_Viens manger, tu ne dois pas rester dans tes appartements cloitré ainsi. Me dit-elle, malgré ma peine, elle insiste pour que j'aille manger avec tout le monde.

_Ne me force pas à venir te prendre par la peau du cou, tu sais très bien que j'en suis capable. Continuait-elle de me dire.

_Très bien j'arrive, laisse moi juste quelques minutes, que je puisse au moins me laver le visage. Cédais-je finalement

_Tu as encore pleuré n'est ce pas? M'interroge t-elle avec tout son coté maternel qui lui est si propre.

Ça m'énerve, tout le monde me traite comme un bébé malgré mon age et c'est vrais qu'être à ce point prisonnier dans ce corps d'enfant ça m'aide pas beaucoup, mais quand même, j'aimerais bien que de temps en temps on me considère comme un grand. À Faernis on ne lui parle pas sur ce ton, à Consiansrine non plus, mais à moi ça devient frustrant, je suis pas un petit garçon. L'absence de magie n'as pas altéré ma croissance mental que je sache, je revendique même avoir de la sagesse d'adulte, plus que les autres gamins du royaume ça c'est certain.

_Je t'ai mis tes habits sur le lit, me signal t-elle au passage. _Tu n'auras plus qu'a te changer après ta toilette. Et ne t'inquiète pas tu seras à coté de moi lors du repas, ni les elfes ni les autres invités ne t'auront dans leurs champs de vision, Comme cela, la situation te sera moins pénible. M'assure t-elle.

Et pendant que je me brossais les dents je lui fit part de mes craintes.

_Père ne me veux pas à coté de lui?

_Non du tout, répondit-elle en souriant. Il ne c'est pas exprimé sur ce point. Et je doute qu'il le fasse, il n'a jamais émis d'opinion concernant le choix des places pour personnes qui partage le diné royal tu sais, non?

_Ouf alors, ça me rassure, dis-je tout en me dirigeant près du lit pour m'habiller avec les étoffes royal. Déjà que je veux me terrer dans un gouffre pour au moins le prochain millénaire à cause du fait de son sermon, j'aimerais si possible laisser un maximum de distance entre nous. J'ai pas envie de risquer une maladresse à tables à cause de ma peur.

_Ton père t'aime, arête donc te torturer pour cela.

_Quoi que je fasse, j'attire que sa colère, malgré mes efforts on ne retiens que mes bêtises ou pire parfois on me reproche mon anormalité, comme si j'avais décidé d'être ainsi? Jamais on me traite comme quelqu'un de normal !!! C'est toujours moi qui suis responsable d'une catastrophe !!! Et si c'est pas le cas, alors on me fuis comme la peste, personne ne prend ma défense !!! Et j'en ai asses !! j'en ai asses... snif. Je ne m'était même pas rendu compte que je pleurais en disant ça.

Alors mamie Niyèvla s'approchât de moi me pris dans ses bras et me réconfortât comme d'habitude a chaque fois que je pleurais ou que j'étais triste. Et la je me rendis compte qu'avec elle je serais toujours qu'un enfant.

_Ton père ne te reproche rien. Continuait-elle de me dire. Il t'aime plus que tout au monde, plus que le royaume même. Si il est dur c'est parce que, comme toi, il est maladroit. Malgré sa sagesse, il a toujours des défauts, c'est d'ailleurs pour cela que ta mère en est tombé amoureuse.

_Je ne veux pas aller dîner, pas avec lui c'est trop pour moi, je n'ose pas le regarder en face.

_Tu n'as pas le choix, tu es le prince tu dois être présent lors des repas protocolaires. N'oublie pas Faernis. Elle aussi sera là, si elle ne te vois pas elle sera triste, c'est le seul moment ou vous vous verrez tout les deux. Âpres elle devra quitter le royaume, tu te souviens?

_Elle doit vraiment partir? Demandais-je à ma grand mère tout en la serrant très fort comme pour me blottir mais surtout me cacher du monde et de mes larmes.

_Oui personne ne peux changer cela, à moins d'un miracle, et à part ton père, qui peux réaliser un tel miracle?

_Pas elle, pas elle, si elle n'est plus avec moi, comment je vais faire? Gémis-je.

_Avec de la chance, si tu fais de plus gros efforts, alors peut être qu'il en sera autrement;

_Mais que dois-je faire? Je n'ose même pas parlé à père.

_Déthanis était très fâché, mais surtout il a eu très peur pour vous deux. En particulier pour toi. Tu aurais pu mourir ce matin.

_Mais en une formule magique il a tout réglé remonté les débris, réparé le mur et même ralentis ma chute. Me plaignais-je.

_Si Magnar ne vous avais pas surpris lors de votre escalade, il n'aurait pût prévenir et accompagner Déthanis. D'ailleurs lorsque tu es tombé, la vitesse d'exécution du gnome était tel, qu'il était déjà en train d'accueillir ta réception au sol.

_C'est Magnar qui m'as sauvé alors? Dans ce cas pourquoi Déthanis fait tant de mystère sur les raisons de ma survis?

_Déthanis est le précepteur royal. Me rappelle-t-elle. Ça lui donne autant d'autorité sur le royaume que ton propre père, si il ordonne de taire tout commentaire sur cet incident, que ce sois les motivations qui vous ont poussé à vouloir grimper sur le toit, ou votre sauvetage, c'est qu'il a une bonne raison. Et Déthanis n'agis jamais sans bonne raison.

_Ou est-il au fait? Lui demandais-je

_Il c'est enfermé dans son bureau et a demandé à ce qu'on ne le dérange pas. Demain il s'entretiendra avec le roi à ton propos.

_Mais pourquoi? On vas pas encore me sanctionner? Ils m'ont déjà punit et on parlé de moi pendant des heures toute la journée, pourquoi dois-je encore alimenter discutions sur discutions?

_Calme toi veux tu? Elle me regardât droit dans les yeux puis continua lentement à me parler.

_Lors de ta chute tu as appelé tes ailes tu te souviens?

_Oui, logique je tombais et le but de mes ailes c'est de me faire voler, non?

_Ça a marché? Me demande-t-elle. Avec un sourire

_Bé non, comme d'habitude quoi, ça n'a servis à rien, sinon Déthanis aurait rien fait pour me sauver.

_En fait tes ailes ont réagis, d'âpres Déthanis du moins, et c'est pour cela qu'il c'est enfermé dans son bureau il réfléchit à tout cela, il repasse sans arrêt la scène dans sa tête, en vu d'un espoir pour t'aider à développer enfin tes dons.

_Ah d'accord. Ne savant plus trop quoi dire je me taisais finalement et préférais me blottir contre ma grand mère en pensant à Faernis et ce repas qui nous réunirais une dernière fois. Mais la perspective de partager la même pièce que mon père m'angoissait terriblement. Mais au moins je ne serais ni à coté de lui ni en face. Ça avait au moins le mérite de m'encourager à avancer direction le salon royal.

 

Main dans la main mamie Niyèvla m'accompagnait en direction de notre repas. Sur le trajet elle me rappelait qui serais les invités. Il y aurait la délégation elfe, la délégation orque et les gobelins du château. Faernis accompagné de Branaude bien sur, mamie Niyèvla, Magnar et mon père, le roi. Seul Déthanis sera absent, Méthanobis ne prend jamais place lors des repas royaux lorsque des elfes sont invité. La raisons est qu'ils lui témoignent jamais d'affection. J'ai jamais vraiment compris pourquoi? Pourtant toutes les autres races du royaume l'aime beaucoup, c'est une héroïne, une déesse même pour certains. Mais son peuple la rejette, c'est triste. Un fois j'ai demandé à Faernis et on c'est engueulé, elle a jamais voulu me répondre. Je sais juste que même la propre famille de Méthanobis lui tourne le dos. Elle a pas le droit de parler avec sa sœur, ni avec ses frères. Elle a six frères, deux sont membres de la garde royal mais reçoivent leur ordre d' Aramis plutôt que d'elle. Son frère ainé s'appelle Atlas et l'autre, le cadet se nomme Deneb. Ils ont tout les deux de puissant dons et dispose d'une armure en bergalium, la marque de l'élite. Une fois Atlas c'est battu avec Aramis à propos de notre grande elfe. On n'as jamais su pourquoi.

Atlas est à l'origine, le chef des soldats d'élites directement sous le commandement du roi ou de la générale. Mais comme Méthanobis est la général cela créer des complications. Donc du coup mon père a décidé que Aramis servira de porte parole entre eux. Ce soir au diner Atlas sera présent, il me fait froid dans le dos à chaque fois que je le vois. Même Faernis évite son regard. Malgré son statut il ne vis pas au château. Il retourne chaque soir chez lui, il vit seul reclus.

Il n'aime personne à croire. Il a interdit à Méthanobis de reprendre contact avec sa famille. On ne sais pas pourquoi, tout ce que l'on sais, c'est qu'elle ne dois plus voir sa sœur, ni ses autres frères. Et jamais ses parents ne sont venu au château pour donné d'explications. Mon père excédé par cet attitude alla directement leur rendre visite. A son retour, il convoqua Magnar et Méthanobis ainsi qu'Atlas. Je me rappelle ensuite l'ambiance électrique qu'il y eu au château à chaque fois que les elfes venaient au château. Puis un jour Frivolith est arrivé et lui aussi s'en ai mêlé, résultat encore plus de bruit, encore plus de tensions et au final la famille de Méthanobis avait été déménagé près de chez lui à trois mille lieux au nord est du royaume et dans les cieux, à Bordénya le fief de l'oncle Frivolith, la ou vie Consiansrine ma cousine. Depuis Atlas et Deneb sont resté au royaume pour veiller à ce que Méthanobis n'enfreint pas l'interdiction.

Deneb est très gentil avec moi, il ne me traite jamais comme un handicapé, il m'apprend d'ailleurs le maniement des armes. Un jours il a demandé l'autorisation de m'emmener un mois avec lui en foret. Il voulait faire comme moi, vivre sans dons et sans user de magie, mais dans un environnement hostile, pour voir de quoi on était capable. Bien sur il n'a rien formulé ainsi à mon père. Il avait juste prétexté une promesse lors d'un pari perdu avec moi. Je me souvient comment nous nous étions amusé tout les deux. En contraste, passé un mois avec Atlas aurais été impossible, je tremble rien qu'à l'idée d'imaginer le voir sourire un jour. C'est une vrais tombe cet homme.

_Tu es bien silencieux, aurais-tu as ce point peur de diner? Me rappelle alors à la réalité mamie Niyèvla

_Non du tout je repensais à des souvenir, concernant certains soldats de notre royaume. Me hâtais-je de lui répondre. Mais c'est vrais que l'angoisse du diner venais de me rattraper à nouveau. Mais au moins je suis un peu plus détendu.

_J'ai une surprise pour toi au fait. Me dit-elle subitement.

_C'est quoi ? Lui demandais-je tout excité et en interrompant notre marche.

_Bientôt, commençât-elle. Je ne sais pas quand exactement,mais ton oncle te rendra visite avec ta cousine. Il me tarde de les revoir depuis tout ce temps. J'espère que pour toi c'est aussi joyeux?

_Oh!! Ça oui alors !! La perspective de les revoir me réjouissais c'est sur, mais, je cachais surtout ma tristesse de dire au revoir à Faernis à ma mamie Niyèvla. Élargissant mon sourire, je la pris fortement par la main puis la tirais plus vite en direction du salon. Juste quelque pas nous séparaient des portes.

J'allais bientôt être arrivé, mais au moins je pourrais être dans la même pièce que Faernis, et loin des yeux de mon père surtout.

_Bonsoir mon petit prince, alors ce sermon a t-il été très intéressant? Me dit alors une voix surgit de derrière nous accompagné d'un courant d'air. C'était Magnar qui venais de m'interroger glissant dans le château grâce à ses dons. Il peux se mouvoir avec une tel vélocité qu'il traverse les grandes distances comme si on enjambais une marche. Comme on dois lui paraître très lent.

_Ça suffit petit gnome!!! Notre petit prince est très affecté par cette situation, si tu viens pour te moquer ce n'est pas le moment. Grommela mamie Niyèvla à Magnar.

_Mamie je peux me défendre tout seul, s'il te plais arrête et puis c'est Magnar quoi qu'on lui dise il changera jamais.

_Exacte petit prince, me dit alors très souriant Magnar, non pas que cette affaire ne me touche pas, mais ce qui est fait est fait et on ne reviens pas sur le passé, alors en piste le diner nous attend. Moi même j'ai du me changer pour être présentable. On a réorganisé la disposition des places pour les membres du repas. Tu seras en bout de table avec Faernis, une joie sans limite se dessinait alors sur mon visage et des frissons de plaisir parcouraient alors mon être, _Et entre vous deux, notre roi tiendra place. A ton coté Atlas prendra position et Branaude sera au coté de Faernis.

Je me tenais immobile. Ce n'était pas possible, encore l'elfe cadavérique j'aurais pu supporté, du moins je pense, mais là non, mon père, le roi serait à coté de moi.

C'est pas vrais le sort s'acharne. Je voulais faire demi-tour mais trop tard mamie Niyèvla se tenait derrière moi.

_Oh mon pauvre enfant, je suis désolé. Me dit-elle. Magnar !! Pourquoi ne pas nous avoir prévenu plutôt? Ou modifier l'organisation des places?

_Je n'y suis pour rien grande reine. Dit il aussi gêné qu'on peu l'être en annonçant une mauvaise nouvelle. C'est le roi lui même qui a réorganisé les places. Il voulais la petite elfe et toi même jeune prince à ses cotés. Toute la délégation d'elfes se trouvera en bout de table opposé, le roi les voulais éloigné de vous deux nos enfants, car il n'est point d'humeur à vouloir supporter un débat politique en votre présence. Il a même exigé que les gobelins et les orques soient tous face à face. Je dois d'ailleurs me tenir au milieux des gobelins et vous grande reine, votre place sera en face de moi du coté orque.

_Et bien le repas promet une belle ambiance. Soufflât inquiète mamie Niyèvla.

_Je ne le vous fait pas dire, continua Magnar. Il marqua un silence puis nous regardât lentement avant de se pencher vers nous. J'ai pas vraiment envie de manger dans ces conditions et personnellement, si comme moi vous avez envie d'attendre quelques minutes avant de rejoindre nos convives, franchement je m'en sentirais très soulagé. Je reconnais être très hésitant sur le ce coup.

_Magnar qui tremble des genoux à l'idée de partager un repas, cela est très rare. Se moquât mamie.

_Et toi mon petit prince? Me regardât avec un air complice le gnome. Tu décide quoi? Il me fit un clin d'œil pour accompagner ça question.

_Je veux bien attendre quelques minutes, voir même des années si il le faut. Tout enduré plutôt que ce diner. M'empressais-je dire. Soulagé d'enfin trouver quelqu'un d'aussi réticent que moi à cette situation.

 

Après un temps de réflexions, de regards entre les uns et les autres, Magnar décidât enfin de pousser les grandes porte. Le diner nous attendais et plus moyen de reculer.

Nous avancions tout les trois, mes yeux cherchant vaguement autour de la pièce, souhaitant ardemment tomber sur Faernis et priants pour ne pas croiser mon père. Poser simplement un regard sur lui suffirait à briser le peu de volonté qu'il me restait pour supporter la journée.

Mon père n'est pas cruel avec moi mais j'ai peur de le décevoir, après la journée que j'ai passé j'aurais tout donné pour ne pas me confronter à nouveau avec lui, mais voilà si je veux au moins revoir Faernis je n'ai pas d'autre choix. Une épreuve aussi terrible ça n'existe surement pas, je pense?

Balayant le salon d'un vif coup d'œil, en appréhendant bien sur que chaque silhouette que je rencontre ne soit celle de papa, je décidais plutôt de limité mon champ sur la hauteur de la petite Elfe, ce qui fait que je n'avais pas à observer les visages, mais au grand maximum juste le ceinturons des Gobelins, la poitrine des Elfes présent. La délégation Orque n'étant pas encore arrivé, je me penchais sur les Elfes, ils sont plus petit que la moyenne, normal se sont des politiciens mais surtout aussi de très vieux Elfes, tous sénateurs au parlement des Elfes. C'est la nation la plus nombreuse de Fraternilya, ils sont au moins quarante milliers sur ces terres, ensuite se sont les Orques trente cinq milliers, les Gobelins sont vingt milliers, comme les Taranites, les Gnomes sont moins nombreux, on en compte une dizaines de milliers dans le royaumes.

En tout et pour tout, nous sommes environs un peu plus de cent trente cinq milliers d'habitants dans notre royaume. La cité de Fraternilya la capital a été battis par les Taranites et les Elfes, cela il y a plus de vingts milles années. Avant de devenir un royaume, c'était juste le fief d'un clan pacifiste. Puis des Gobelins sont arrivé et on tout révolutionner avec leurs organisation et leurs intellects. Ensuite la grande guerres des elfes blanc a commencé et des orques sont venue se réfugier chez nous, d'une cité d'un millier d'habitants nous somme passé à une cité dix fois plus nombreuse en quelques années. Puis les elfes blancs ont déclaré la guerre a Fraternilya, c'est alors que notre cité est devenu de plus en plus importante, et les régions du nord et de l'est nous ont alors rejoins pour la bataille de la vallée d' Andriliam.

De nombreux guerriers et innocents tombèrent, cela c'est fait avant ma naissance, et je sais juste qu'a cette issu mon père devint un héros, avec Atlas et Frivolith.

Mon père fut sacré roi, non pas à la suite de cette guerre, mais après de nombreux exploits réalisé plusieurs siècle par la suite. Les Orque l'estime énormément, et les Gnomes aussi. Seul les elfes lui causent un peu de souci avec la couronne, mais bon d'après Magnar c'est normal cette race agace toutes les autres d'un point de vu politique. « Enfin la majorité du peuple sont des elfes, donc, on va pas s'amuser à les ficher dehors simplement parce qu'ils sont casse pied, comme il le dit souvent, bien que ça soulagerait pas mal la partie administrative du château ha ha ha ». J'ai toujours aimé les plaisanteries de Magnar quand il s'agit de critiquer les autres, il a une manière de donner un avis souvent négatif puis ensuite, il tourne ça veste par une pirouette verbal et donc du coup, on sais jamais ce qu'il pense, si il est pour ou contre.

 

Je vis ensuite mamie Niyèvla avancer tranquillement saluer la délégation Gobelins, ces derniers bien que d'apparence grincheux lui esquissent chacun un sourire. Il est surprenant de constater que cette espèce est la plus impliqué dans le royaume. Ils se chargent, pour la majorité, de l'éducation, de l'application des lois, de l'enregistrement des plaintes ou autres problèmes que peuvent rencontrer les habitants mais aussi de tout ce qui est liée au travaux et manœuvre du royaume. Ce peuple est le garant de la vie social, administrative et juridique du royaume et pourtant c'est l'espèce la moins asocial qui sois. Ils sont trop sérieux et rare sont les mariages qui durent plus d'un siècle au sein de leurs espèce.

Les Gobelins s'entendent très mal avec les orques, pour des raisons évidentes d'esthétisme, alors que les Gobelins sont raffiné et très soucieux des protocoles, les Orque quand à eux, sont d'apparence plus négligé et aime s'occuper de l'élevage du bétail et de tout travaux lié a la paysannerie se que les gobelins ne peuvent supporter, en effet ils ont en horreur la saleté et la puanteur des animaux. Bref le bordelisme des Orques est un affront au sens de l'ordre des Gobelins.

Magnar trouve les Gobelins très marrant du moins depuis qu'il connais Déthanis, jadis durant sa jeunesse il m'a raconté comment avec mon père, ils se sont retrouvé coincé dans les catacombes du temple de cristal de Péridon, pendant, cinquante jours, tout les trois furent ensevelis sous le temple suite à une bavure de Magnar, et le cristal de Péridon a la capacité d'annuler toutes magie. C'est à la suite d'un combat contre un très puissant mage noir, qu'ils se retrouvèrent coincé ainsi, sans pouvoir juste eux trois, Magnar et Déthanis se crachant sans arrêt à la figure des propose insultant l'un envers l'autre etc etc. et mon père toujours pris à parti entre eux deux.

Âpres cette aventure des liens se sont noué entre eux, bien qu'ils se chamaillent sans arrêt encore depuis. C'est étrange de se dire que Magnar n'aimait personne avant et que maintenant il est l'intendant royal.

_Mon prince votre précieux joyau vient d'arriver, me dit alors le Gnome, comme pour me sortir de mes pensées. Précieux joyau, c'est comme cela qu'il parle de Faernis, soulignant le caractère sacré de mes sentiments pour mon elfe, Comme Magnar nous comprend.

_Ou est elle? Lui demandais-je, tout en la cherchant des yeux dans la pièce.

_Au dessus de ta tête petit prince, regarde, elle a traversé le plafond grâce à Branaude, elles se tiennent la main.

En effet je les vois, ma petite elfe, ma meilleur amie, ma confidente et mon ange à moi. Branaude le pouvoir de traverser les murs du château, c'est un passe muraille comme on dit, a cause de son pouvoir d'intangibilité. Elle a une interaction spécial avec la matière, elle peux par simple contacte physique avec les dalles du château ou les portes par exemple, glisser et se délacer d'un endroit a l'autre du château. Lorsque qu'elle prend quelqu'un par la main elle peu traversé les murs et se rendre immatériel, ce qui explique pourquoi elle tombe comme des plumes toutes les deux. Branaude grâce a son don peu aussi parlé directement de n'importe quel pièces du château ce qui donne l'impression que le château est vivant. Mais Branaude est avant tout la coursière du royaume, elle est de soixante ans plus âgé que Consiansrine, ce qui lui fait dans les trois cents vingt sept ou vingt huit a peu près. C'est la plus jeune membre du château. Elle a pour charge de d'accueillir toute personne qui rentre au château, de s'occuper des rendez vous avec le roi ou tout autre autorité du royaume, d'organiser la disposition des places lors des banquet et de la décoration mais aussi depuis bientôt vingt ans maintenant, elle est la gouvernante de Faernis.

Elle se charge de ses leçons de civilité, de l'aider a s'habiller, en femme de préférence, car Faernis est un vrais garçon manqué et elle à aucun goût vestimentaire. Et Branaude s'arrache les plumes sans arrêt quand elle dois la préparer pour une quelconque célébration. Ah oui Branaude est une gnome, mais elle est différente de Magnar c'est une gnome a plume et a bec, elle est petite en taille par rapport au autres personnel du château, est en plus elle a toujours le sourire au visage on dirait qu'elle est la seule ne jamais pleurer ou faire la grimace. Elle a toujours une tunique longue, avec une ceinture en tissu et quelques barète sur la tête, Branaude a des plumes coloré en arc en ciel lorsqu'il s'agit de faire la fête, mais en général elles sont de couleur marron.

Mais revenons à mon joyau, ma belle Faernis. Elle est sublime, c'est cheveux d'or on était coiffé et tresser pour la plupart, sans doute par Branaude. Elle a toujours sa frange de devant et elle a des boucle d'oreille bleu pale, ainsi qu'un collier de ces même perle. Sa robe est incroyable on dirais que Faernis est devenu un cygne. Le buste n'a pas de bretelle et sur son poignet une fleur est attaché, c'est la même que celle qui attache ses cheveux, que je ne pouvais remarqué avant. L'arrivé de Branaude et Faernis à coïncidé avec l'arrivé des Orques, que Magnar est allez escorté jusqu'à leur place à table.

Avant que le diné commence, je vais rejoindre Faernis j'ai besoin d'entendre ça voix et sentir son parfum. Arrivé près de son dos, car elle n'avait même pas remarqué que j'étais la je m'empresse de lui chatouiller l'épaule lorsque qu'une main glaciale me tire en arrière brusquement. Et une voix au ton des plus graves et encore plus glacial se mis alors à me murmuré:

_Il serait déconvenue jeune prince, que votre proximité avec la petite elfe soit à nouveau constaté lors de ce repas. Je vous serez donc gré de bien vouloir vous asseoir immédiatement à mes cotés, car si le roi arrive et que les politiciens elfes se mettent à souligner ce détail, l'humeur de ce repas prendrais une tournure encore plus désagréable pour nous tous. Ainsi me parlât Atlas tout en me tirant à ma place.

Une fois installé, il dévisageât avec sévérité la délégation elfe. Ses yeux jaune ne cachait pas son dégout de la politique et encore moins sa colère, contre ceux qui la représentait en ce moment avec nous.

_Pourquoi ne puis-je allez auprès de Faernis? Lui demandais-je malgré la gêne de simplement me tenir au coté de cet elfes cadavérique.

_Votre petit spectacle de cet journée, a été le catalyseur de bon nombre de conséquence politique désastreuse. Même si cela n'est point de votre fait, il n'en demeure pas moins que la petite elfe est une future gardienne, à cela sa santé est plus importante que tout le reste. Le château de Fraternilya est le lieu le plus sécurisé du royaume, raison pour laquelle la jeune Faernis ai été invité à vivre ici. Puis il se tournât vers moi avec un regard froid et poursuivit.

_Tenez donc vos distance, et tachez de ne point offenser d'avantage votre père, ni de déshonorer à nouveau sa personne en compromettant ça position comme votre plongeons du haut de cet tour. Toujours en me fixant des yeux, sans même se rendre compte du choc et de la blessure engendrer par ses mots ils poursuivit

_Votre père a sacrifié trop de sa personne pour le royaume, et il continue encore à se scarifier au jour d'aujourd'hui, et vous et la petite elfe par vos bêtises insensées, vous ruinez chacun de ses efforts et chacune des relations qui a été bâtit après de nombreux siècles. Comment votre père peux-il garantir la sécurité de la future gardienne si vous persistez à vous balader tranquillement sous le nez de tant de dangers? Vous même le propre fils du roi avez faillit mourir alors que votre père était au château, avez vous conscience de l'impact émotionnel qu'il a subit à ce moment et des conséquences désastreuse que cela a pu engendré au niveau de la crédibilité de notre sécurité?

Les larmes commencèrent à me monter au yeux, et son regard accusateur continuait de me toiser.

Je voudrais quitter la pièce , je voudrais quitter le château, je voudrais ne plus être là avec eux.

 

_Mon prince, me dit alors une vois accompagné d'une petite tape sur l'épaule, C'était Branaude.

Le roi m'a chargé de vous dire que le diné se terminera un peu plus tôt pour vous et la petite elfe.

Puis elle me fixa un petit moment avec ses grands yeux et rajoute alors: _Lorsqu'il me le signalera je prendrais alors Faernis par la main et vous enjoindrais donc vous aussi à me suivre au petit salon. Puis elle retournât rejoindre Faernis auprès de la délégation elfe, qui continuais à éviter le regard d'Atlas, comme si ils cherchaient à ne pas attiser un quelconque défis.

Branaude pris Faernis par les épaules et l'escortât à sa place avec tout le soins que pouvait apporter une gouvernante à sa protégé. Ensuite la délégation Elfe pris place a la table immédiatement suivis par les Orques et mamie Niyèvla.

Il était facile de noter l'aversion de Gobelins à cette situations, ce qui expliquait l'hésitation qu'ils mirent avant de nous prendre place eux aussi. Je vis aussi Magnar lever les yeux au ciel lors de cette exécution. Tout le monde étant prêts nous attendions plus que mon père et les cuisiniers apportant les plats.

_Restez assis jeune prince, me dit alors Atlas tandis qu'il se levait, immédiatement suivis de Branaude et de toutes les délégations et personnes présente. Magnar tout sourire se tournât dans ma direction, non pas pour moi mais pour la personne qui venait d'entrer dans la pièce par les porte juste derrière moi, il s'agissait de mon père, le roi.

Je tremblait des genoux je n'osais plus rien dire ni même me tourner. Magnar usa de son don pour rejoindre le siège entre Faernis et moi même et le tirer, puis retournât à sa place. Je sentit alors mon père prendre place et vis toutes les personne présente se rassoir docilement.

_Bienvenu à tous, commença alors mon père. Sa voix me donna des frissons, il était la et je ressentis de nouveau ma gorge se nouer lorsque les souvenir de cette journée remontaient en moi.

_Avant de débuter se repas j'aimerais faire par de mon enthousiasme à l'idée de recevoir toutes les délégations ici présente. J'aimerais aussi m'excuser de ne pas avoir pus vous accueillir plutôt aujourd'hui.

_Il est inutile de vous excuser Grand roi, dit alors la chef de délégation orque. Votre tache est plus importante que notre accueil, c'est au contraire a nous de présenter nos excuses de vous embarrasser de la sorte.

_Merci Valentyna, dit mon père. Puis après un petit regard rapide autour de la table il poursuivit._Aujourd'hui j'ai pris une décision concernant certains évènements récent, donc je souhaiterais que l'on taise le débat sur ce sujet durant notre diné.

Un léger grondement à peine étouffé de la part de la délégation Elfes vins délicatement à nos oreilles à l'instant même ou mon père finissait sa phrase, puis des regards fixe et accusateur vinrent aussi dans ma direction. C'est alors qu'un vent froid très léger venait de parcourir la pièce tout le monde à l'exception de mon père esquissa un frisson, même Branaude en avait perdu le sourire.

Atlas venais de subtilement remettre à leurs place les Elfes à ce qu'il semble. C'était sa manière de présenter ce qu'il se passerait si quiconque dérogerais à la règle de mon père.

Magnar se mis à sourire et mamie Niyèvla se cachât derrière une coupe de jus de banane tout en lui faisant un petit clin d'œil à l'attention de notre Gnome préféré. Bien que cela reste furtif entre eux deux, ça confirme que les autres ont bien compris le message. Ce que Atlas peux être vraiment dissuasif, s'en ai presque comique.

 

J'hésitais toujours à l'idée de tourner la tête sur ma gauche pour tenter d'observer Faernis et ainsi graver encore un peu son image dans mon esprit.

Je me suis donc fixé la devoir de terminer ma salade que les cuisiniers ont servis avec entrains juste après la petite allocution de mon père, pour enfin regarder Faernis. Je déteste la salade et mon père le sais bien, peu être que je gagnerais des points dans son estime avec ce geste? Nan faut pas rêver, si chaque fois que je mangeais des légumes ça m'aurais pardonné au yeux de mon père, ça aurait été trop facile.

Pour être honnête les manger ne me permettais qu'une chose de fuir le mal être de la proximité de mon père à cet instant même, c'est uniquement cette raison.

 

Mon assiette vide finalement, je soufflais quelques instants, puis enfin, j'osais me tourner sur ma gauche pour chercher un contact visuel de Faernis. Je vis d'abord son assiette, puis sa mains et enfin je remontais jusqu'à apercevoir son visage qui me regardait, oh cette chaleur, comme elle était belle, si radieuse et si réconfortante à chaque sourire, ce même sourire qu'elle m'adressât à l'instant même.

D'un simple regard je compris qu'elle n'avait cessé de guetter la moindre occasion ou j'allais enfin la regarder. Elle attendait cela depuis le début du repas. Je souriais aussi bêtement qu'un enfant qui venais d'obtenir un cadeau pour sa fête.

Puis le bras de mon père coupât net notre regard, il venait de prendre une coupe aussi simplement que n'importe qui sans prêter attention à notre échange, mais cela suffit à casser brusquement notre intention de prolonger se moment. Faernis baissât les yeux puis je l'imitais à mon tour. Nous finîmes alors le repas sans plus lever la tête chacun de notre coté.

 

Au bout d'un moment, mon père échangeât un regard avec Branaude , nous comprimes alors qu'il était tant de quitter la pièce. Branaude se leva, puis reculât le siège de Faernis, cette dernière fit une révérence pour saluer toutes les délégations ici présente. Bien sur la gouvernante fus ravis de cette initiative et ne manquait pas de féliciter discrètement la petite Elfe.

Atlas me fit signe puis me dit à voix basse:

_Inutile pour vous de faire preuve d'autant de civilité. Veuillez simplement pousser votre siège puis poliment sourire aux Orques et aux Gobelins, les Elfes ne mérite nullement que vous fassiez le moindre effort de politesse à leurs égard, ils n'y prêteraient aucune attention. Passez discrètement derrière le siège de votre père puis rejoignez Branaude et la petite elfe en prenant bien soins vous mettre du coté libre de la gouvernante.

Puis il leva sa coupe et je m'exécutais en fonctions de ses consignes. Magnar leva sa coupe également à son tour pour me saluer et me souhaitât bonne nuit, les Gobelins aussi ainsi que les Orques. Mamie Niyèvla se leva et m'embrassât tandis que les Elfes restèrent la à me fixer tout en jetant des regards furtif en direction de mon père et d'Atlas. Je me retenais de ne pas rire, car cette légère brise glacial émise par notre guerrier cadavérique, semblais mettre vraiment mal à l'aise les Elfes.

 

 

Quelque instant plus tard, après avoir laissé mamie Niyèvla reprendre sa place, avec Branaude nous rejoignîmes le petit salon. Ce dernier avait pris une teinte bleu, se qui signifiât que mon père était à nouveau calme. À peine arrivé et les porte du salon fermé Branaude pris place sur un fauteuil tandis que Faernis m'enroulât de ses bras, elle me serrât si fort que mes os auraient pus craquer j'en suis sur.

_Aie !! tu me fais mal. Arête !!! Lui dit-je.

_Non s'il te plais pas tout de suite, snif me dit elle. Je m'en veux, je m'en veux. Me chuchotât-elle

Elle pleurait c'était évident. Branaude semblait embarrassé, comme si la culpabilité de Faernis la poignardait en plein dans son âme.

_Calme toi lui dis-je. C'est pas en m'écrabouillant les cotes que tu te te sentiras mieux tu sais?

Elle me lâchât subitement puis me regardât dans les yeux avant de me frapper violemment le haut du crane avec sa mains. Ouille !!! Ça fait mal.

_Tu pourrais au moins être compatissant !!! Me hurlât-elle dans les oreilles. Branaude se mis à rire.

_Mais ça vas pas bien? Lui disais-je. _Tu me massacre les cotes et après tu me tabasse le crane et c'est à moi d'être compatissant? Et compatissant de quoi d'abord? Parce que honnêtement la, j'ai rien compris pensais-je.

_Ah !!! les hommes tous les même, me répond-elle simplement. On s'inquiète pour eux et ils ne comprenne rien à notre sensibilité, tsss !!! Se plaignait-elle avant de rejoindre Branaude tout sourire cette fois ci.

_Heureusement que j'ai bien fait de demander, parce là franchement pour le coup j'y vois plus claire, merci. Lui dit-je.

_Oh ça vas, arrête un peu tu veux ? Commença-elle. _Faut vraiment qu'on parle de ça ? On vis peu être notre dernier soir et tu fait toujours preuve d'un manque de romantisme.

Mais qu'est ce qui se passe réellement dans la tête des femmes ? Franchement un jour j'aimerais le savoir parce que la je suis vraiment perdu.

 

Âpres bien des instants de solitude comme celui ci, nous continuâmes à passer la soirée dans la joie sachant pertinemment que demain ça ne serait peut être plus pareille. Branaude nous expliquât que ce soir nous pourrions rester ensemble et que si nous le souhaitions, nous pourrions dormir dans le petit salon, à condition que Faernis aille se changer, de peur qu'elle n'abime ça belle robe de soirée.

 

 

 

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